J’ai travaillé huit ans en Allemagne afin d’offrir une meilleure vie à ma famille au Pakistan. Mais ma famille me manquait. Je suis donc rentré au pays. Au début, je ne savais pas comment reprendre pied. Grâce au PGFRC, je suis désormais maçon à mon compte.
L’électrotechnique et le génie mécanique sont au cœur d’un programme de formation et d’emploi que l’EGC propose en coopération avec Siemens Energy. Les qualifications actuelles augmentent les chances sur le marché du travail. Voici les expériences d’un participant et d’une formatrice.
S’ouvrir, parler de son vécu et prendre confiance : c’est ce que des migrant·e·s de retour ont eu la chance de faire lors d’un atelier du GMAC. Il y était question des traumatismes et des défis liés au genre.
Après son retour au Kosovo, Qendrim s’est mis à son compte, avec succès. Le DIMAK l’a aidé à réaliser son rêve professionnel.
L’association « Amal » travaille en étroite coopération avec le centre tuniso-allemand. Leur objectif commun est de conseiller, d’accompagner et de former les femmes vivant des situations difficiles.
Étudier à l’étranger est un rêve pour de nombreuses jeunes personnes en Gambie. Les bénéficiaires ont obtenu des informations sur les différentes possibilités, les bourses et les procédures de candidature lors d’un événement d’information à Westfield, à Serrekunda.
J’ai travaillé de nombreuses années en tant qu’électricien à l’étranger, mais ma famille me manquait. Quand je suis rentré au Pakistan en 2018, je ne gagnais pas assez d’argent au début. Un ami m’a parlé des offres du PGFRC. C’est ainsi qu’a commencé mon nouveau départ.
Robert und Yvonne ist ein Neustart mit einer Firma für Bio-Kosmetik gelungen. Das Ghanaisch-Deutsche Zentrum für Jobs, Migration und Reintegration (GGC) hat das Ehepaar auf diesem Weg unterstützt.
Mon entreprise s’engage contre la pollution par le plastique. Nous fabriquons des sacs que l’on peut utiliser plusieurs fois. Le GGC m’a aidé à créer mon entreprise.
Par deux fois déjà j’ai quitté l’Allemagne pour rentrer en Serbie. Grâce au DIMAK, j’ai désormais enfin trouvé une perspective en Serbie. Ma famille et moi-même, nous nous en sortons beaucoup mieux maintenant, , même si ce n’est pas facile.