Apprendre de ses modèles et nouer des contacts – c’est cette chance incroyable qu’une masterclass d’art « Made-in-Nigeria » a offerte à de jeunes artistes. Leurs œuvres ont été exposées du 16 au 20 mai en coopération avec le NGC à Abuja.
Ça n’a pas été simple d’être à nouveau au Maroc. Beaucoup de choses avaient changé depuis que, très jeune, j’avais quitté le pays. Mais l’EIMA m’a aidé à ouvrir ma propre épicerie. Désormais, j’ai une clientèle fidèle.
Le Centre germano-irakien pour l’Emploi, la Migration et la Réintégration (GMAC) propose un accompagnement psychosocial pour aider au mieux les personnes rentrées au pays. Ali, conseiller en santé, explique au cours d'une interview comment cela fonctionne. Pour lui, le principal est que les personnes se sentent bien avec lui.
Des contacts avec des entreprises, de l’accompagnement professionnel, des astuces sur les meilleures formations, de la promotion de l’emploi et de la sensibilisation aux différentes opportunités en Gambie : voici tous les sujets couverts par le salon de l’emploi sur le campus du Gambia College. Plus de 1000 participantes et participants ont bénéficié de cette offre.
Niveau débutant ou déjà avancé – le Centre germano-égyptien d’information pour l’emploi, la migration et la réintégration propose des cours de programmation pour toute personne intéressée. Nancy, professeure de musique, raconte ses expériences en informatique dans une interview.
Pendant la pandémie de coronavirus, je suis rentré auprès de ma famille au Pakistan. Le PGFRC m’a aidé à me mettre à mon compte en tant que photographe. Désormais, mon studio photo a beaucoup de succès.
Une meilleure vie pour elles et leurs familles : c’est dans cet objectif que Jasmina et Milica se sont mises à leur compte en tant que fruiticultrices en Serbie. Le Centre d’information allemand pour les migrations, les formations et les carrières (DIMAK) soutient les deux femmes.
Exclusion, migration, violence au sein du mariage : Ana a traversé de nombreuses épreuves. À l’aide du centre d’information DIMAK, cette Albanaise a reçu un accompagnement psychosocial lors de son retour et a pu prendre un nouveau départ professionnel dans un centre d’appel.
Le talent, le sérieux et l’ambition pour devenir coiffeuse, Majlinda les avait déjà. Avec un peu d’aide, elle a pu atteindre son rêve d’avoir son propre salon de coiffure après son retour en Albanie.
Je suis revenu au Kosovo et j’ai désormais ma propre entreprise en construction sèche. Le DIMAK et d’autres partenaires m’ont aidé au démarrage. J’envisage l’avenir de manière positive et je suis heureux d’être rentré.