Le soutien des enfants et des jeunes est un axe central du travail du DIMAK en Serbie. Pour ce faire, l’un des principaux partenaires est le Centre d’intégration des jeunes (CIM).
Albert était un enfant des rues. C’est avec beaucoup de persévérance et grâce au soutien du Centre pour l’intégration des jeunes qu’il a été à l’école, a trouvé un logement et travaille maintenant dans la restauration, tout en ayant des projets pour sa fille.
Alors que j’étais dans une situation difficile, le centre germano-nigérian m’a aidée. Désormais, je suis indépendance et fière d’avoir ma propre boutique.
À l’occasion de son anniversaire, SOLWODI (Solidarity with Women in Distress) met à l’honneur les femmes que l’organisation conseille et accompagne. Une interview sur une exposition spéciale et le retour dans la dignité.
Après 10 ans à l’étranger, Karima est rentrée au Maroc. Elle a commencé à fabriquer des cosmétiques naturels. Avec l’aide de l’EIMA, elle a pu développer sa petite entreprise. Et elle a encore de nombreux projets.
Le salon de l’emploi du Ghana a misé sur le thème de l’écologie cette année. Plusieurs milliers de personnes se sont rendues dans les différents sites lors des quatre jours du salon. Toutes recherchaient un emploi, de nouvelles idées ou des formations.
Après avoir terminé ses études, Matilda rêvait de travailler dans le secteur des médias. Mais ce souhait ne s’est pas exaucé. À l’occasion du salon de l'emploi au Ghana, elle a été encouragée à créer son entreprise. Matilda a fait ses débuts dans le secteur alimentaire il y a deux ans.
Après quelques années en Europe, j’ai dû rentrer au Maroc. Avec le soutien de l’EIMA, j’ai ouvert mon propre salon de coiffure moderne. Je vis désormais de ma passion.
Des carrières professionnelles peuvent débuter ici : en novembre 2022, les personnes en recherche d’emploi et les entreprises du Kosovo seront de nouveau réunies à l’occasion d’un salon de l’emploi, aussi bien en présentiel qu'au format numérique.
Frederick s’est mis à son compte après son retour au Ghana. Pour ce faire, il a notamment bénéficié du soutien du Centre ghanéo-allemand pour l’Emploi, la Migration et la Réintégration (GGC). Aujourd’hui, il propose lui-même des formations dans son entreprise de soudure. Frederick envisage l’avenir avec optimisme.