« Mon vœu s’est exaucé, je suis maintenant maquilleuse professionnelle »
Pendant la pandémie de Covid-19, Cecilia, coiffeuse, travaillait comme marchande ambulante. Grâce à la mise en relation par le Centre ghanéo-européen pour l’Emploi, la Migration et la Réintégration, elle a suivi une formation continue qui a changé sa vie
Les personnes recherchant des perspectives professionnelles dans le domaine de la technologie solaire peuvent participer à une formation organisée par le PGFRC. 20 participant·e·s ont saisi cette chance et ont déjà des idées concrètes pour leur avenir.
J’ai travaillé pendant 3 ans en tant qu’électricien en Arabie saoudite. Mais je ne gagnais pas assez et ma famille me manquait. En 2018, je suis retourné au Pakistan. Grâce à une formation du PGFRC, j’ai pu me mettre à mon compte.
Le Centre ghanéo-européen mise sur la solidarité et le travail d’équipe
Le Centre ghanéo-européen (GEC) a organisé un événement à l’occasion de la Journée internationale des migrants et migrantes. Le rôle de la communauté était au cœur de cette manifestation. Un salon organisé dans ce cadre permettait aux personnes qui ont été aidées par le GEC de présenter leurs produits et de raconter leurs expériences.
Des formations à l’emploi pour les jeunes et les migrant·e·s de retour dans les zones rurales du Ghana
Le Centre ghanéo-européen pour l’Emploi, la Migration et le Développement propose des formations intensives dans les régions rurales. Le « projet Sprinter » permet d’aider les jeunes et les migrant·e·s de retour à prendre un nouveau départ sur le marché du travail ghanéen.
La formation continue au Sénégal : les femmes de Thiaroye-sur-Mer
De plus en plus de personnes de Thiaroye-sur-Mer, au Sénégal, périssent en essayant d’atteindre l’Europe par la mer. Un collectif de femmes avertit contre la migration irrégulière. Il montre les alternatives qu’offre la formation professionnelle.
J’ai travaillé huit ans en Allemagne afin d’offrir une meilleure vie à ma famille au Pakistan. Mais ma famille me manquait. Je suis donc rentré au pays. Au début, je ne savais pas comment reprendre pied. Grâce au PGFRC, je suis désormais maçon à mon compte.
De meilleures perspectives professionnelles grâce à des connaissances actualisées
L’électrotechnique et le génie mécanique sont au cœur d’un programme de formation et d’emploi que l’EGC propose en coopération avec Siemens Energy. Les qualifications actuelles augmentent les chances sur le marché du travail. Voici les expériences d’un participant et d’une formatrice.
Ici, les femmes et les hommes traumatisé·e·s ont trouvé de l’aide
S’ouvrir, parler de son vécu et prendre confiance : c’est ce que des migrant·e·s de retour ont eu la chance de faire lors d’un atelier du GMAC. Il y était question des traumatismes et des défis liés au genre.
J’ai passé 10 ans en Europe. Puis je suis parti, car ma famille avait besoin de moi. De retour au Maroc, l’EIMA m’a aidé à créer ma propre entreprise. Désormais, je fabrique et vends des sandales avec mon père et mon frère.
Für Frauen mit und ohne Behinderung hat das Deutsch-Senegalesische Zentrum für Jobs, Migration und Reintegration (CSAEM) ein integratives Training angeboten. Die Verarbeitung von Getreide bietet den Frauen die Chance, ihr Einkommen zu verbessern.
L’association « Amal » travaille en étroite coopération avec le centre tuniso-allemand. Leur objectif commun est de conseiller, d’accompagner et de former les femmes vivant des situations difficiles.
Se construire un avenir en Gambie grâce à la mobilité en matière de formation
Étudier à l’étranger est un rêve pour de nombreuses jeunes personnes en Gambie. Les bénéficiaires ont obtenu des informations sur les différentes possibilités, les bourses et les procédures de candidature lors d’un événement d’information à Westfield, à Serrekunda.
J’ai travaillé de nombreuses années en tant qu’électricien à l’étranger, mais ma famille me manquait. Quand je suis rentré au Pakistan en 2018, je ne gagnais pas assez d’argent au début. Un ami m’a parlé des offres du PGFRC. C’est ainsi qu’a commencé mon nouveau départ.
« Nous voulons vendre des cosmétiques bio dans le monde entier »
Robert und Yvonne ist ein Neustart mit einer Firma für Bio-Kosmetik gelungen. Das Ghanaisch-Deutsche Zentrum für Jobs, Migration und Reintegration (GGC) hat das Ehepaar auf diesem Weg unterstützt.
Mon entreprise s’engage contre la pollution par le plastique. Nous fabriquons des sacs que l’on peut utiliser plusieurs fois. Le GGC m’a aidé à créer mon entreprise.
Par deux fois déjà j’ai quitté l’Allemagne pour rentrer en Serbie. Grâce au DIMAK, j’ai désormais enfin trouvé une perspective en Serbie. Ma famille et moi-même, nous nous en sortons beaucoup mieux maintenant, , même si ce n’est pas facile.
Ensemble, obtenir plus grâce à l’élevage de poulets
Une association de femmes a lancé avec succès un élevage de volailles à Dakar avec le soutien du CSAEM. Les membres disposent désormais d’un revenu supplémentaire pour elles et leurs familles.
Le soutien des enfants et des jeunes est un axe central du travail du DIMAK en Serbie. Pour ce faire, l’un des principaux partenaires est le Centre d’intégration des jeunes (CIM).
Albert était un enfant des rues. C’est avec beaucoup de persévérance et grâce au soutien du Centre pour l’intégration des jeunes qu’il a été à l’école, a trouvé un logement et travaille maintenant dans la restauration, tout en ayant des projets pour sa fille.
« Avec ma boutique de mode, j’ai créé quelque chose d’extraordinaire »
Alors que j’étais dans une situation difficile, le centre germano-nigérian m’a aidée. Désormais, je suis indépendance et fière d’avoir ma propre boutique.
« Sama ellëg fi ma dëkk » : une émission sur la migration et les opportunités au Sénégal
Eine Radiosendung informiert in Senegal über Risiken irregulärer Migration und Perspektiven vor Ort. Gesendet wird neben Französisch auch in den lokalen Sprachen Wolof, Poular und Diola.
Aider les femmes lors de leur retour – depuis 30 ans
À l’occasion de son anniversaire, SOLWODI (Solidarity with Women in Distress) met à l’honneur les femmes que l’organisation conseille et accompagne. Une interview sur une exposition spéciale et le retour dans la dignité.
Après 10 ans à l’étranger, Karima est rentrée au Maroc. Elle a commencé à fabriquer des cosmétiques naturels. Avec l’aide de l’EIMA, elle a pu développer sa petite entreprise. Et elle a encore de nombreux projets.
Le salon de l’emploi du Ghana a misé sur le thème de l’écologie cette année. Plusieurs milliers de personnes se sont rendues dans les différents sites lors des quatre jours du salon. Toutes recherchaient un emploi, de nouvelles idées ou des formations.
« Pour moi, le salon de l’emploi a été un tournant »
Après avoir terminé ses études, Matilda rêvait de travailler dans le secteur des médias. Mais ce souhait ne s’est pas exaucé. À l’occasion du salon de l'emploi au Ghana, elle a été encouragée à créer son entreprise. Matilda a fait ses débuts dans le secteur alimentaire il y a deux ans.
Après quelques années en Europe, j’ai dû rentrer au Maroc. Avec le soutien de l’EIMA, j’ai ouvert mon propre salon de coiffure moderne. Je vis désormais de ma passion.
Trouver le travail de ses rêves au salon de l’emploi
Des carrières professionnelles peuvent débuter ici : en novembre 2022, les personnes en recherche d’emploi et les entreprises du Kosovo seront de nouveau réunies à l’occasion d’un salon de l’emploi, aussi bien en présentiel qu'au format numérique.
Frederick s’est mis à son compte après son retour au Ghana. Pour ce faire, il a notamment bénéficié du soutien du Centre ghanéo-allemand pour l’Emploi, la Migration et la Réintégration (GGC). Aujourd’hui, il propose lui-même des formations dans son entreprise de soudure. Frederick envisage l’avenir avec optimisme.
Apprendre de ses modèles et nouer des contacts – c’est cette chance incroyable qu’une masterclass d’art « Made-in-Nigeria » a offerte à de jeunes artistes. Leurs œuvres ont été exposées du 16 au 20 mai en coopération avec le NGC à Abuja.
Ça n’a pas été simple d’être à nouveau au Maroc. Beaucoup de choses avaient changé depuis que, très jeune, j’avais quitté le pays. Mais l’EIMA m’a aidé à ouvrir ma propre épicerie. Désormais, j’ai une clientèle fidèle.
Le Centre germano-irakien pour l’Emploi, la Migration et la Réintégration (GMAC) propose un accompagnement psychosocial pour aider au mieux les personnes rentrées au pays. Ali, conseiller en santé, explique au cours d'une interview comment cela fonctionne. Pour lui, le principal est que les personnes se sentent bien avec lui.
Les partenariats avec les institutions publiques au Sénégal permettent au CSAEM de contribuer à la mise en relation des personnes à la recherche d'emploi avec des emplois adéquats. Son service comprend des formations et des placements.
Gagner de l’argent en tant que femme dans le secteur de la sécurité
Après avoir suivi une formation d'agente de sécurité, Mbombe a enfin trouvé un emploi. Le CSAEM a collaboré avec des entreprises pour mettre en relation le personnel et les emplois.
Succès du salon de l'emploi et de la journée des carrières en Gambie
Des contacts avec des entreprises, de l’accompagnement professionnel, des astuces sur les meilleures formations, de la promotion de l’emploi et de la sensibilisation aux différentes opportunités en Gambie : voici tous les sujets couverts par le salon de l’emploi sur le campus du Gambia College. Plus de 1000 participantes et participants ont bénéficié de cette offre.
« Programmer me permet de voir le monde sous une autre perspective »
Niveau débutant ou déjà avancé – le Centre germano-égyptien d’information pour l’emploi, la migration et la réintégration propose des cours de programmation pour toute personne intéressée. Nancy, professeure de musique, raconte ses expériences en informatique dans une interview.
Saisir les opportunités professionnelles en Casamance
Dans le sud du Sénégal aussi, le CSAEM aide les personnes à se réorienter professionnellement. Des cours dans différents domaines permettent de mettre le pied à l’étrier. Ici, des personnes qui ont participé racontent leurs expériences.
Pendant la pandémie de coronavirus, je suis rentré auprès de ma famille au Pakistan. Le PGFRC m’a aidé à me mettre à mon compte en tant que photographe. Désormais, mon studio photo a beaucoup de succès.
Une meilleure vie pour elles et leurs familles : c’est dans cet objectif que Jasmina et Milica se sont mises à leur compte en tant que fruiticultrices en Serbie. Le Centre d’information allemand pour les migrations, les formations et les carrières (DIMAK) soutient les deux femmes.
Le plein de forces pour un nouveau départ à Tirana
Exclusion, migration, violence au sein du mariage : Ana a traversé de nombreuses épreuves. À l’aide du centre d’information DIMAK, cette Albanaise a reçu un accompagnement psychosocial lors de son retour et a pu prendre un nouveau départ professionnel dans un centre d’appel.
Le talent, le sérieux et l’ambition pour devenir coiffeuse, Majlinda les avait déjà. Avec un peu d’aide, elle a pu atteindre son rêve d’avoir son propre salon de coiffure après son retour en Albanie.
Indépendant grâce à mon entreprise de construction à sec
Je suis revenu au Kosovo et j’ai désormais ma propre entreprise en construction sèche. Le DIMAK et d’autres partenaires m’ont aidé au démarrage. J’envisage l’avenir de manière positive et je suis heureux d’être rentré.
Avec le GTTI, le GGAC propose aux jeunes en Gambie une formation de 9 mois qui doit leur ouvrir des perspectives professionnelles. Ils et elles sont préparé·e·s à des emplois dans l’industrie de la sidérurgie, dans la construction et dans le secteur des technologies solaires.
De nouveaux emplois grâce à la station de filtration d’eau
Après 29 ans en Europe, je suis rentré au Sénégal. Avec ma famille, je gère une station de filtration d'eau. Lorsque mon chiffre d’affaires a chuté, le CSAEM m’a aidé. Désormais, je souhaite agrandir mon entreprise.
Ivana Ristićević conseille les personnes issues de la population locale et celles revenues au pays appartenant à tous les groupes de population au sein du Centre d’information allemand pour les migrations, les formations et les carrières (DIMAK) à Belgrade.
Le centre sénégalo-allemand d’Information pour l’Emploi, la Migration et la Réintégration (CSAEM) a présenté au public une bande dessinée sur les risques de la migration irrégulière ainsi que sur les perspectives au Sénégal.
« Nous aidons les enfants à surmonter les changements »
Il n’y a pas que des adultes qui reviennent au Kosovo après avoir vécu longtemps à l’étranger. Pour les familles et surtout les enfants, il s’agit souvent d’un chemin jonché d’obstacles importants. Le Centre d’information allemand pour les migrations, les formations et les carrières (DIMAK) à Pristina propose de l’aide pour tous et toutes. Ramadan Islami, coordinateur au DIMAK, nous en dit plus dans une interview.
À l’occasion du salon numérique de l’emploi en Tunisie, des milliers de femmes et d’hommes sont entré·es directement en contact avec des employeuses et employeurs potentiel·les. Un succès pour toutes les parties impliquées.
J’ai fini par trouver : je travaille dans mon pays d’origine comme chauffeur indépendant. Le Centre germano-pakistanais d’Information pour l’Emploi et la Réintégration m’a aidé dans ma recherche.
De jeunes entrepreneuses et entrepreneurs gagnent une nouvelle clientèle
Savons, chaussures, aliments – tous ces produits et bien d’autres pouvaient être achetés sur deux marchés à Lagos et Abuja. Le Centre germano-nigérian d’Information pour l’Emploi, la Migration et la Réintégration organise ces marchés pour les anciens participants et participantes.
Un succès taillé sur mesure en tant qu’indépendant
Je suis parti en Allemagne pour soutenir ma famille. Quand ma mère est tombée malade, je suis rentré. Le Centre germano-pakistanais d’Information pour l’Emploi et la Réintégration (PGFRC) m’a aidé à ouvrir un atelier de couture.
Où trouver du travail ? Une question que beaucoup de personnes se posent dans la région autour de la ville de Vladičin Han. Parmi elles se trouve Dejan, travailleur saisonnier. Avec le soutien du Centre d’information allemand pour les migrations, les formations et les carrières (DIMAK), il a trouvé sa propre voie.
Afin d’offrir aux femmes et aux hommes le meilleur nouveau départ possible dans leur pays d’origine, des spécialistes de la réintégration travaillent en étroite collaboration à Munich.
Trouver de nouvelles opportunités grâce à la photographie
Apprendre un nouveau métier ou créer sa propre entreprise – beaucoup de personnes en rêvent. Le Centre germano-pakistanais d’information pour l’emploi et la réintégration (PGFRC) aide à exaucer ce rêve. Avec le concours d’organisations partenaires, il organise entre autres des formations professionnelles, par exemple un cours de photo d’un mois. Jetons un œil en coulisses.
Grâce à la bonne préparation depuis l’Allemagne, j’ai pu poursuivre le développement de mon projet dès mon retour au Sénégal. Et bientôt, je pourrais me mettre à mon compte.
Start-up au Sénégal : Éliminer les déchets de manière durable et améliorer un peu mon pays
Avoir ma propre entreprise de gestion des déchets est un rêve devenu réalité. Je le dois aussi au soutien du CSAEM. Je souhaite renforcer la conscience écologique au Sénégal.
Des premiers pas pour les entrepreneuses et les jeunes indépendantes
Grâce à des initiatives de formation pratique, le Centre sénégalo-allemand d’Information pour l’Emploi, la Migration et la Réintégration (CSAEM) appuie particulièrement les femmes et les jeunes au Sénégal. Ces qualifications aident à percevoir ses propres revenus en tant qu’indépendante.
Faire de la gastronomie un métier grâce à une formation
Apprendre un nouveau métier, créer sa propre entreprise – beaucoup de personnes en rêvent. Le centre germano-pakistanais d’information pour l’emploi et la réintégration (PGFRC) y aide, notamment grâce à une formation dans le secteur des arts culinaires.
Un nouveau départ avec une formation en mécanique moto
Apprendre un nouveau métier, créer sa propre entreprise – beaucoup de personnes en rêvent. Le Centre germano-pakistanais d’information pour l’emploi et la réintégration (PGFRC) offre un soutien sous la forme d’une formation de mécanicien ou mécanicienne moto.
Avec l’aide du centre tuniso-allemand d’Information pour l’Emploi, la Migration et la Réintégration, je me suis qualifiée dans un tout autre secteur – et j’ai immédiatement trouvé un travail.
À son compte en Serbie : Jelena, thérapeute, ouvre son propre cabinet
Je m’appelle Jelena. J’ai 36 ans et deux fils. L’un d’eux est autiste. Je l’ai aidé et encouragé moi-même pendant de nombreuses années. Je me suis alors rendu compte que je pouvais aussi aider d’autres enfants.
Agripreneur 3.0 a pour objectif de motiver les jeunes originaires de régions rurales de la Tunisie, comme Oeurfeli, pour l’entrepreneuriat dans le secteur de l’agriculture.
Lorsqu’on crée une start-up, il faut faire attention à de nombreux aspects et surmonter certains obstacles : en Serbie, le Centre d’information allemand pour les migrations, les formations et les carrières (DIMAK) et les organisations partenaires du DIMAK soutiennent les jeunes entreprises.
Avec de l’aide, j’ai pu ouvrir mon cabinet de kinésithérapie en Serbie en 2019. Je suis heureux. On peut réaliser ses projets de vie, même dans son propre pays.
Gildas Bagné de Social Impact StartHope@Home aide les personnes rapatriées à développer une idée commerciale et un business plan pour leur nouveau départ dans leur pays d’origine. Le coach planifie chaque accompagnement de manière individuelle pour obtenir une efficacité maximale.
« Prendre son temps et offrir de la sécurité aux femmes »
L'organisation SOLWODI ("Solidarity with Women in Distress"), partenaire de la GIZ, conseille et accompagne les femmes qui ont subi la traite des êtres humains, la prostitution forcée ou la violence dans les relations. Vous trouverez ici les questions les plus importantes lors de la consultation.
Guerre, migration, chômage : Cynthia a traversé de nombreuses épreuves. Afin de pouvoir enfin se tourner de nouveau vers l’avenir, elle a bénéficié de l’accompagnement psychologique de « House of Hope ».
L’objectif est le suivant : avoir l’esprit d’entreprise
De nouvelles connaissances et une nouvelle confiance, voici ce qu’ont gagné les participants et participantes à une formation de la Deutsche Sparkassenstiftung für internationale Kooperation. Quatre membres du groupe racontent ici leurs projets professionnels.
Salons de l’emploi virtuels – un format qui a de l’avenir
Découvrir sa future entreprise en ligne – les salons de l’emploi virtuels le permettent. Les Centres d’information allemands pour les migrations, les formations et les carrières (DIMAK) de Serbie et d’Albanie utilisent aussi ce format. À l’occasion d’une double interview, Marija Brankovic du DIMAK de Serbie et Earli Shima du DIMAK d’Albanie parlent de leurs expériences avec les salons de l’emploi virtuels ainsi que des défis et opportunités de ce concept.
Des entretiens avec des employeuses et employeurs potentiels, des ateliers sur des sujets de carrière importants et surtout beaucoup d’encouragement : les impressions du salon de l’emploi ghanéen 2021.
Je gère mon propre restaurant dans ma ville d’origine. Grâce au soutien important, je peux développer constamment mon affaire et même surmonter les crises.
De quoi dépendent surtout les entretiens avec les candidates et candidats au retour ? Markus Fiebiger du Zentrale Rückkehrberatung Südbayern à Mühldorf raconte le travail de son équipe.
Sfax, ville côtière tunisienne, sert de point de départ à de nombreuses personnes qui partent pour l’Europe, dans l’espoir d’une vie meilleure. Oussema, conseiller du Centre germano-tunisien d’information pour l’emploi, la migration et la réintégration (CTA) montre des alternatives à la migration.
Le temps passé en Allemagne a été une bonne expérience, mais je ne pouvais pas y travailler. De retour au Sénégal j’exploite désormais un atelier de couture et j’envisage d’ouvrir un magasin.
Nighat Aziz est conseillère auprès du Centre germano-pakistanais d’information pour l’emploi et la réintégration (PGFRC) où elle est l’interlocutrice principale pour les femmes et les personnes en difficultés sociales. Avec les organisations partenaires du centre, elle répond à leurs besoins particuliers.
Aider les femmes en situation d’urgence et leur donner de la force : tel est l’objectif de l’organisation de défense des droits humains Solwodi (Solidarity with Women in Distress). À titre de partenaire de la GIZ, Solwodi soutient les femmes en Allemagne qui réfléchissent à retourner dans leur pays d’origine.
Retour en famille: ils misent sur la formation initiale et continue
Un père espère garantir un avenir radieux à ses 4 filles. Le Centre d’information allemand pour les migrations, les formations et les carrières (DIMAK) accompagne la famille sur cette voie.
Samuel a quitté le Ghana en quête d’une meilleure vie en Europe. Après des années difficiles, il est désormais de retour et veut se bâtir une nouvelle existence dans son pays d’origine. Alors qu’il était encore en Allemagne, il avait déjà planifié l’exploitation de sa propre usine de tissage.
Par deux fois j’ai quitté le Ghana pour l’Europe, par deux fois je suis revenue sans avoir rencontré le succès. Grâce au Centre ghanéo-allemand d’information pour l’Emploi, la Migration et la Réintégration (GGC), j’envisage aujourd’hui l’avenir avec optimisme.
Aujourd’hui, en tant que menuisier, j’équipe des locaux entiers. C’est seulement en empruntant des détours que j’ai trouvé des possibilités pour réussir dans le travail de mes rêves.
Je pensais que mes problèmes se résoudraient en Europe. Mais je n’ai pas réussi là-bas. Désormais, je vis au Sénégal et je vais bien – grâce au soutien psychosocial offert par la « House of Hope ».
Lorsqu’on veut réussir à diriger une entreprise, des connaissances en économie sont nécessaires. Un cours de la fondation de la Sparkasse montre comment les acquérir de manière ludique.
Une entrée rapide dans le monde du travail dans le secteur du tourisme
Dans deux écoles professionnelles nationales tunisiennes, de jeunes femmes et hommes sont formé·e·s pour entrer dans le monde de la gastronomie et de l’hôtellerie.
«En temps de crise, les personnes retournent dans leur pays d’origine»
Sahar Aly dirige le nouveau Centre germano-égyptien d’information pour l’emploi, la migration et la réintégration (EGC) qui a ouvert au Caire début novembre. Lors d’un entretien, elle explique les offres du centre et pourquoi elle s’attend à susciter beaucoup d’intérêt.
Les personnes pouvant attester d’une formation pratique en Allemagne ont de meilleures chances de trouver un emploi dans leur pays d’origine. C’est pourquoi les personnes intéressées par un retour apprennent, par exemple, à manier les ciseaux, sèche-cheveux et colorations à Dinslaken.
Une formation de la GIZ en Albanie prépare les jeunes femmes et hommes à travailler dans le secteur hôtelier et augmente leurs chances de trouver un emploi – avec succès.
David Yaw-Mensah Tette est directeur du Centre germano-ghanéen d’information pour l’emploi, la migration et la réintégration (MIAC) à Accra. Dans ce bref entretien, il raconte son travail au centre et sa motivation personnelle.
«Les problèmes de ces personnes sont aussi les miens»
Une famille rentrée d’Allemagne cherche une école pour ses enfants. Les femmes et hommes d’un village au sud de la Serbie souhaitent savoir comment trouver du travail. Ils ne sont pas les seuls que Tamara Vučenović aide. Un aperçu du quotidien d’une conseillère au Centre d’information allemand pour les migrations, les formations et les carrières (DIMAK) en Serbie.
Stefan Grünbaum fait partie de la vingtaine de scouts pour la réintégration de la GIZ répartis dans presque tous les Länder. Ils font office d’interface entre les accompagnements au retour en Allemagne et dans les pays d’origine.
Prévoir son retour en période de pandémie du coronavirus – questions et réponses
Retourner dans son pays d’origine suscite de nombreuses questions, même en temps normal. La pandémie du coronavirus apporte de toutes nouvelles insécurités. Vous apprendrez ici l’essentiel sur cette situation particulière. Huit questions et réponses.
La création d’une entreprise de marketing sur Internet lui donne de l’espoir. Après son retour d’Allemagne, Emiliano s’est construit un nouvel avenir en Serbie.
Mon rêve de devenir footballeur professionnel en Europe n’était pas réaliste. Maintenant, j’ai ma propre boulangerie au Ghana et je peux subvenir à mes besoins.
Je m’appelle Naa, j’ai 29 ans et je viens du Ghana. Avant, j’ai travaillé comme responsable d’événements. En 2015, je suis partie pour l’Allemagne afin de commencer un master en Development Economics and International Studies. Mais, pour moi, il était clair dès le début que je reviendrais une fois mon diplôme en poche. Je voulais aider au développement de mon pays. Parallèlement, je n’étais pas sûre de comment je pourrais m’y bâtir un avenir.
Je m’appelle Derrick, j’ai 29 ans et je viens du Ghana. J’ai étudié l’informatique, mais je n’ai pas réussi à trouver du travail dans mon pays d’origine. En 2014, je suis arrivé en Allemagne en tant que touriste, j’y suis resté et j’ai travaillé dans un restaurant. Cependant, ma vie n’était pas comme je l’avais imaginée.
Je m’appelle Agim et je viens du Kosovo. Avant, j’ai travaillé dans la fabrication du marbre, mais le salaire était mauvais. Je ne pouvais pas nourrir ma famille avec ce salaire. C’est pourquoi je suis parti en Allemagne en 2015, avec ma femme et mes 3 enfants. Nous avons fait une demande d’asile.
Je m’appelle Bestoon, j’ai 32 ans et je viens d’Erbil, en Irak. Je suis marié et j’ai 2 enfants. En janvier 2018, nous sommes partis tous ensemble pour l’Allemagne, car la situation en Irak était très difficile pour nous. Mais ça n’allait pas non plus en Allemagne. Aujourd’hui, nous sommes de retour à Erbil et j’ai un nouveau métier. Je suis désormais coiffeur.
Je m’appelle Kweku et je vis au Ghana. Après mon diplôme universitaire, j’ai d’abord pensé aller à l’étranger. Mais, avec un peu d’aide, j’ai fini par trouver un travail au Ghana. Désormais, j’élabore toutes sortes de plans pour mon avenir dans mon pays d’origine.
Un nouveau travail et une nouvelle chance en Albanie
Je m’appelle Realf et j’ai 25 ans. Début 2018, je suis arrivé en Allemagne où je voulais me créer une nouvelle vie. Mais, après cinq mois, j’ai constaté que cela allait être difficile sans statut légal. Je suis donc retourné en Albanie, mon pays d’origine – là-bas, de toutes nouvelles possibilités se sont ouvertes à moi. Voici comment cela est arrivé:
Je m’appelle Igrita et je viens d’Albanie. En janvier 2016, je suis partie pour l’Allemagne avec mon mari et mes 3 filles. Ce que nous voulions ? Une meilleure vie ! À vrai dire, tout s’est bien passé : mon mari a trouvé du travail comme soudeur, moi comme agent d’entretien et les enfants allaient à l’école. Elles y ont très vite appris l’allemand. Cependant, notre culture, notre famille et nos amis en Albanie nous manquaient. C’est pourquoi nous sommes rentrés en janvier 2017.
My name is Jerry and I come from Nigeria. A scholarship enabled me to study engineering in the UK for a year in 2014. After that it became clear to me: I wanted to return to Nigeria and utilise my knowledge in my homeland.
Je m’appelle Safet et je viens de Serbie. Après avoir longtemps travaillé dans mon pays d’origine comme maçon et peintre sans formation, j’ai tenté ma chance en Allemagne. Mais ce fut difficile d’y trouver un travail. J’ai donc pensé à retourner en Serbie. Ensuite, la décision fut prise à ma place. J’ai été expulsé par les autorités allemandes.
De nouvelles opportunités en créant sa propre entreprise
Je m’appelle Saša. Je suis né dans la ville serbe de Kruševac où je suis retourné après quelques années passées en Allemagne. Entre-temps, j’ai en effet pu créer ma propre entreprise en Serbie – ce dont j’avais toujours rêvé. Cependant, on m’y a aidé. Voici mon histoire.
Je m’appelle Bilal. Après la crise financière, j’ai quitté l’Irak en 2015 et je suis parti en Allemagne. Je voulais y trouver une meilleure vie. Après 12 jours de voyage sans véritable repas ni hébergement, je suis arrivé en Allemagne. J’espérais que mes problèmes prendraient fin là-bas.
La franchise et la crédibilité ont permis au centre d’information DIMAK d’établir une véritable confiance au cours des dernières années. Cela porte désormais ses fruits. Les conseillères Halisa Duka et Dorisa Lala racontent leur travail pendant la crise du coronavirus.
Des masques pour sa propre subsistance – et contre la pandémie
À l’origine, Cynthia voulait ouvrir sa propre boutique de mode au Nigeria, mais la pandémie de la Covid-19 a sévi. Désormais, Cynthia fabrique des masques faciaux : Cette commande publique lui offre un peu de sécurité, même pendant la crise.
L’intégration au travail se poursuit, mais différemment
Les formations ne sont pas possibles, les départs non plus – et la pression augmente sur les marchés du travail des pays d’origine : le projet Newplacement International s’est adapté à la crise du coronavirus. Quatre questions et réponses.
Ernestina Adu du Centre ghanéo-allemand d’information pour l’Emploi, la Migration et la Réintégration (GGC) nous parle de son travail en cette période de pandémie du coronavirus.
Je m’appelle Said et j’ai grandi dans la région de Fès au Maroc. J’y ai appris la couture. Comme j’avais le sentiment que mes chances seraient meilleures ailleurs, en 2015, je suis parti pour la Turquie avant de rejoindre la Grèce. Je suis ensuite arrivé en Allemagne. J’avais alors 30 ans et j’espérais trouver des opportunités professionnelles en Allemagne.
Je m’appelle Yassine et je viens du Maroc. J’ai étudié les sciences islamiques à Fès mais je n’ai pas réussi à trouver du travail après mes études. Ensuite, j’ai eu la chance de suivre une formation du projet « Promotion de l’emploi des jeunes en milieu rural » (PEJ).
Bonjour, je m’appelle Khaled. Je viens de Tunisie et j’ai 34 ans. Ma famille possède un magasin de fruits et légumes dans lequel j’ai travaillé pendant longtemps. Cela a toujours été mon grand rêve de vivre en Europe. En 2008, lorsque j’avais 24 ans, je me suis mis en route. J’ai tout d’abord été en Italie pendant un an. Ensuite, je suis parti en Allemagne en passant par la France et la Belgique.
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